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Mondiales

La sélection végétale nucléaire pourrait aider à lutter contre la faim dans le monde

L’amélioration des plantes et la science nucléaire pourraient être aux extrémités de l’éventail technologique mais les scientifiques pensent qu’«aller nucléaire» pourrait aider à renforcer les efforts faits pour produire des variétés à haut rendement et à sauver des millions de personnes de la faim. L’Agence Internationale de l’Énergie Atomique des Nations Unies (IAEA) exhorte à une augmentation de l’utilisation de l’induction de mutation, ou de l’utilisation des radiations, pour améliorer les plantes cultivées et leur permettre de résister aux maladies et de survivre dans des conditions difficiles telles que la sécheresse ou les inondations. L’Agence dit que la technique est avérée et peu chère et qu’elle est utilisée depuis les années 1920.

«Pour fournir des solutions durables et à long terme, nous devons utiliser toutes les ressources disponibles. Sélectionner des plantes cultivées qui sont plus capables de nous nourrir est une des plus anciennes sciences humaines. Mais nous avons négligé de lui donner le soutien et l’investissement dont elle a besoin pour une utilisation universelle» a dit le directeur général de l’IAEA, Mohamed ElBaradei. «L’IAEA est en faveur de la relance des technologies nucléaire en sélection végétale pour aider à lutter contre la faim dans le monde».

Comme exemple de plantes cultivées mutantes libérées avec succès, citons un manioc résistant aux maladies au Ghana, un riz tolérant aux conditions salines au Vietnam, un blé qui peut survivre aux régions arides du Kenya et un orge qui pousse bien dans les altitudes élevées des Andes.

Le communiqué de presse est disponible sur : ftp://ftp.iaea.org/dist/adpi/PressCampaign/PressRelease/FoodSecurityPressRelease.pdf


Augmenter l’investissement en agriculture augmentera les bénéfices

Des experts agricoles mondiaux nous alertent sur le fait que les coupes budgétaires dans la recherche et les programmes pour mettre en œuvre les nouvelles découvertes seront catastrophiques pour des millions de petits fermiers et leurs familles en Afrique ainsi que dans la plupart de l’Amérique latine et de l’Asie. Prenant la parole lors de la réunion annuelle du Groupe Consultatif sur la Recherche Agricole Internationale (CGIAR) à Maputo (Mozambique), la directrice du CGIAR, Katherine Sierra, a noté que les chercheurs ont prouvé dans le passé que de petits financements peuvent accroître les rendements des cultures, lutter contre des nuisibles dévastateurs et, finalement, permettre aux agriculteurs et à leurs familles de sortir de la pauvreté.

Un nouveau rapport de l’Institut International de Recherche sur les Politiques Alimentaires (IFPRI) a révélé que l’augmentation des investissements du secteur public des pays en voie de développement dans la recherche agricole diminuerait de plus de la moitié le nombre de personnes vivant avec moins de 1 $ par jour en Afrique sub-saharienne d’ici 2010. «Avec les crises financières et alimentaires qui commencent à nous toucher et, avec le changement climatique qui se profile, il est particulièrement important de faire des investissements bien ciblés qui stimulent l’agriculture dans le monde» a dit Ren Wang, directeur du CGIAR.

Pour plus d’informations, allez sur http://www.cgiar.org/. Le rapport peut être téléchargé sur http://www.ifpri.org/PUBS/agm08/jvbagm2008.asp


Une étude détaillée des liens du CGIAR et du NARS

Une étude détaillée concernant le travail dans le domaine de la biotechnologie du Groupe de coordination de la recherche internationale en agriculture (CGIAR) et de son partenaire Systèmes Nationaux de Recherches Agricoles (NARS) donne plusieurs recommandations pour améliorer le processus. Il est noté «un besoin clair de procédures spéciales, en particulier qui impliquent les principaux NARS durant les premières étapes, afin d’assurer un flux efficace de la recherche vers l’utilisation». Les recommandations suivantes sont le résultat de l’atelier de travail «Biotechnologie, biosécurité et le CGIAR : Promouvoir les meilleures pratiques en sciences et en politique», organisé par le Conseil Scientifique du CGIAR, l’Institut International de Recherche sur le Riz et Bioversity International :

  • Un réseau pour améliorer la distribution des produits biotech du CGIAR est impératif. Le réseau doit impliquer les NARS ainsi que d’autres partenaires. Ses fonctions doivent comprendre l’identification des meilleures pratiques, le développement de plans d’affaire ainsi que d’autres aspects du développement et de distribution des produits.
  • Une large représentation au niveau des foras internationaux de politique devra être coordonnée (peut être par le réseau de soutien aux recherches en biotechnologie du CGIAR), en particulier pour fournir des contributions techniques et pour mettre en avant les scénarios/options de recherche.
Une version de prépublication du rapport de l’atelier de travail est disponible à http://www.sciencecouncil.cgiar.org/home/priorities-strategies/en/

Afrique

L’atelier de travail du NEPAD discute des défis pour l’Afrique du nord

Plus de 130 scientifiques des pays d’Afrique du Nord (Égypte, Libye, Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie et Tchad) assistaient à l’atelier de travail Biotechnologie du NEPAD à Ezzahra City (Tunisie) pour discuter des défis pour l’Afrique du Nord et de la possibilité d’un programme régional de recherche. Le NEPAD, ou le Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique, est un programme d’action de l’Union Africaine pour le re-développement du continent africain.

Le Pr. Mahmoud Sakr, directeur de la division Génie Génétique et Biotechnologie du Centre National Égyptien de Recherches a rapporté que «via le NEPAD, des projets en cours ont pour but d’améliorer les qualités nutritionnelles des plantes cultivées et leur tolérance à la sécheresse et à la salinité. Une collaboration entre des équipes égyptiennes, algériennes et tunisiennes a réussi à recueillir des germplasmes nord-africains précieux qui sont tolérants à la sécheresse et à la salinité ainsi qu’un faible niveau d’acide phytique. Ces efforts pionniers, bien qu’au stade de balbutiements, auront un impact positif important dans la lutte contre la pauvreté et la malnutrition en Afrique».

Les participants ont fait plusieurs recommandations pour améliorer ce réseau. Elles comprennent : la construction de capacités et l’amélioration des ressources humaines en Afrique, le besoin de clarifier le rôle du NEPAD pour les scientifiques africains afin de renforcer la coopération, l’identification des points principaux dans chaque pays d’Afrique du Nord, des formations complémentaires dans le domaine de la biotechnologie et une amélioration de la communication agricole dans le réseau.

Pour plus d’informations, contactez Ismail AbdelHamid du Centre Égyptien d’Information dans le domaine de la Biotechnologie à ismail@isaaa.org ou ismail@egypt-bic.com.


Le KARI inaugure une serre de biosécurité à l’épreuve des insectes

Le Centre Biotechnologie de l’Institut Kenyan de Recherches Agricoles (KARI-Biotech) a présenté l’état d’avancement actuel de la serre de biosécurité à l’épreuve des insectes. Le KARI Biotech réalise actuellement des essais sur diverses plantes biotech comme le coton Bt, le maïs Bt, le manioc, le sorgho et les patates douces.

La construction de la serre a été financée par le gouvernement danois via le projet BiosafeTrain pour un coût d’environ 40'000 dollars US. L’installation est un complément aux serres de biosécurité de niveau II du centre. Lors de l’inauguration de l’installation, le Dr Jamleck Mutugi, président du bureau de gestion du KARI, a dit que le Kenya, qui doit faire face à un important déficit alimentaire, a besoin d’accélérer le processus d’adoption des plantes biotech pour relancer la productivité agricole. Le projet BiosafeTrain a pour but de construire des installations en Afrique de l’Est pour la biosécurité et pour l’évaluation de l’impact écologique des organismes génétiquement modifiés.

Pour plus d’informations, contactez Daniel Otunge (d.otunge@cgiar.org) du centre africain de l’ISAAA.


Un atelier de travail «BecA bioinformatique» pour mettre à jour les étudiants africains

Biosciences Afrique de l’est et du centre (BecA) est une initiative de biotechnologie pour les plantes, les animaux et les microbes. Le coeur de BecA est un projet conjoint de partenaires de recherches régionaux liés à la communauté mondiale de la recherche, avec pour but d’employer la biotechnologie moderne pour améliorer l’agriculture en Afrique de l’est et du centre.

Récemment, le groupe Bioinformatique du BecA-ILRI a accueilli un atelier de formation sur la protéomique et la bioinformatique pour 23 étudiants de l’Afrique de l’est. Il était subventionné par le Groupe Régional d’Étudiants (RSG) d’Afrique de l’est et organisé par le Dr. Etienne de Villiers, chef du groupe Bioinformatique du BecA-ILRI. Le Pr. Anna Tramontano, du département de sciences biochimiques “Rossi Fanelli” de l’université de Rome La Sapienza (Italie), dirigeait la formation. Via des cours, des démonstrations et des activités pratiques, les participants ont étudié les structures des protéines, l’évolution de leur structure ainsi que leur classification. Plusieurs méthodes de détermination des structures de protéines, comme la modélisation d’homologie, la méthode de reconnaissance de repliements et des méthodes basées sur les fragments ont été étudiées. Les étudiants ont aussi été initiés au projet d’évaluation critique des techniques de prévision des structures de protéine (CASP) et à la manière dont la prévision de structure peut conduire à la prédiction de la fonction de la protéine.

«La sélection des étudiants a été très efficace. Tous ont montré un vif intérêt à apprendre, ce qui était rafraîchissant et stimulant, et nombre d’entre eux avait des problèmes spécifiques dont nous avons pu discuter. J’espère sincèrement que la plupart d’entre eux seront capables de faire usage de ce qu’ils ont appris et fait durant leur carrière» a dit le Dr. Tramontano.

Le centre du BecA Hub, avec une Plateforme Biosciences reflétant l’état de la technique, est localisé à l’Institut International de Recherche sur le Bétail (ILRI) à Nairobi (Kenya). Pour plus d’informations sur cet atelier de travail et sur les futurs ateliers de travail sur la bioinformatique du centre de BecA, contactez le Dr. de Villiers à e.villiers@cgiar.org.


Le Kenya adopte une loi de biosécurité

Après une consultation rigoureuse et étendue des parties concernées depuis 2002, le Parlement kenyan a massivement adopté la loi de biosécurité le 9 décembre 2008. La loi était soutenue par le Conseil des ministres et d’autres parlementaires qui en ont débattu de manière très informée. La loi est un instrument fondamental pour satisfaire aux exigences du protocole de Carthagène sur la biosécurité et aux garde-fous kenyans contre les effets inattendus des organismes génétiquement modifiés (OGM), en particulier les mouvements transfrontaliers. Le ministre de l’agriculture, William Ruto, a dit que «les bénéfices découlant de la loi sont énormes. Elle donne à ce pays une manière détaillée et coordonnée permettant d’exploiter les bénéfices découlant de la recherche et de renforcer l’autosuffisance dans la production alimentaire».

La loi cherche à faciliter la recherche et le commerce responsable des produits GM via un processus transparent basé sur la science et prédictible. Contribuant au débat, la ministre de l’éduction supérieure, de la Science et de la Technologie, Sally Kosgey, a mis en avant «Nous ne devons pas être effrayé par la science ou avoir peur d’avancer. Le pays est en lutte pour l’alimentation et nous ne voulons pas que nos scientifiques vivent à Genève ou ailleurs, mais qu’ils aient la protection de la loi et qu’ils fassent des recherches ici, dans leur propre pays». Dans sa conclusion et ses remerciements, le Dr. Kosgey a mis en garde les médias contre le sensationnalisme des thèmes d’intérêts nationaux et leur a demandé de plutôt consulter et couvrir les thèmes de manière objective et impartiale. En reconnaissant ses efforts, le ministre des terres, James Orengo, a dit «Je veux juste noter la manière dont le ministre a piloté ce projet de loi durant les trois stades et le mode de consensus qui a été réalisé durant le débat à la Chambre. Je crois que si quelques uns d’entre nous peuvent suivre ses traces, les affaires de la Chambre seront entreprises très rapidement».

La loi attend maintenant l’approbation présidentielle et une fois publiée, les modalités pour mettre en place l’Autorité Nationale de Biosécurité (NBA) seront initiées pour guider les autorisations réglementaires et les prises de décisions pour amener les maïs, cotons GM résistants aux insectes et autres produits actuellement en essais en champs confinés vers le niveau suivant de commercialisation. L'adoption du projet de loi est une étape importante en raison de l'importance stratégique du Kenya en Afrique et dans la communauté internationale. Le pays a rejoint les rangs d'autres pays africains qui ont adopté des lois sur la prévention des risques biotechnologiques, dont le Cameroun, la Tanzanie, le Malawi, Maurice, Afrique du Sud, Burkina Faso, la Namibie, le Mali et le Zimbabwe. En Septembre 2008, le gouvernement a lancé une stratégie nationale de sensibilisation en biotechnologie de cinq ans (BioAware-Kenya) pour améliorer la compréhension et la sensibilisation en biotechnologie du public via la diffusion d'informations précises et impartiales en temps opportun.

Pour plus d’information sur la loi de biosécurité, contactez Mr. Harrison Macharia, Chef du secrétariat des sciences du Conseil National pour la Science et la Technologie à harrison@ncstnbo.or.ke or harimacharia@yahoo.com.


Une présidente africaine reçoit une récompense de la FAO

La présidente libérienne, Ellen Johnson-Sirleaf, a reçu la médaille Ceres de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO) pour sa contribution exceptionnelle à la sécurité alimentaire et au développement agricole. Durant les cérémonies de la foire agricole nationale à Voinjama (Liberia), le directeur général de la FAO, Jacques Diouf, a loué sa détermination à investir dans l’agriculture malgré la crise financière internationale. Le nom de la récompense du Ceres vient de la déesse romaine de l’agriculture.

Lisez les actualités de la FAO à http://www.fao.org/news/story/en/item/8842/icode/


Arcadia et l’AATF vont développer des variétés rustiques de riz pour l’Afrique

Arcadia Biosciences, basé en Californie, et la Fondation Africaine de Technologie Agricole (AATF) ont annoncé leur accord avec Arcadia qui va effectuer les activités technologiques pour développer une variété de riz qui utiliserait efficacement l’azote et une tolérante au sel. Selon l’accord, Arcadia va réaliser les transformations des plantes, les essais en serre ainsi que les essais en champs aux USA et travailler avec les chercheurs sous contrat avec l’AATF en Afrique pour faciliter un transfert de technologie rapide. Plus tôt cette année, Arcadia a fournit une licence sans compensation des frais de technologie pour l’AATF pour le développement des variétés améliorées de riz que la fondation va offrir aux petits fermiers africains sans redevances.

Arcadia et l’AATF, une organisation à but non lucratif «se concentrent sur l’accès et la diffusion des nouvelles technologies agricoles pour les petits fermiers africains», croient que la diffusion des NUE et du riz tolérant à la salinité pourraient aider à diminuer les pressions agricoles des fermiers africains et pourraient minimiser la dépendance du continent vis-à-vis des importations alimentaires.

Lisez le communiqué de presse : http://www.arcadiabio.com/pr_0032.php

Amériques

La sécheresse augmente le niveau de vitamine E des graines de soja

Les scientifiques du Service de Recherche Agricole (ARS) du département américain de l’agriculture (USDA) ont trouvé que le temps et le climat peuvent jouer un rôle clé dans le niveau des tocophérols des graines de soja. Les tocophérols sont une famille de composés qui protègent les cellules des radicaux libres, des atomes ou groupes fortement réactifs qui peuvent endommager les composants cellulaires importants comme l’ADN et la membrane cellulaire. La famille comprend l’alpha-tocophérol, la forme active de la vitamine E des humains.

Steven Britz et ses collègues ont analysé le contenu des tocophérols des graines de soja cultivés dans différentes localités du Maryland entre 1999 et 2002. Le temps a été relativement normal entre 1999 et 2001, mais une sécheresse extrême et des températures chaudes ont caractérisé l’année 2002. Les chercheurs ont trouvé que sous les conditions de sécheresse de 2002, les lignées à maturité précoce contiennent 3,5 fois plus d’alpha tocophérol que lors des autres années où la pluviométrie avait été adéquate.

Selon les chercheurs, l’étude montre de quelle manière les propriétés nutritionnelles des plantes peuvent être fortement affectées par le temps et potentiellement par le changement climatique.

Lisez l’article complet : http://www.ars.usda.gov/News/docs.htm?docid=1261

Europe

Biotech en Europe

Malgré les restrictions réglementaires et les menaces politiques, la superficie estimée cultivée avec du maïs biotech devrait augmenter de 110'000 ha en 2009 en Espagne, en République Tchèque, au Portugal, en Slovaquie et en Allemagne. C’est la prévision du EU-27 Biotechnology Annual 2008 publié par l’USDA Foreign Agricultural Service GAIN Report.

Bien qu’il y ait un cadre législatif dans l’Union Européenne, les politiques des États Membres (EM) varient beaucoup. La plupart des EM a un cadre national de coexistence pour les cultures biotech et non biotech alors que d’autres continuent à maintenir un ban national pour les plantes génétiquement modifiées. Il y a une baisse de la recherche puisque de nombreux scientifiques sont partis aux USA où le soutien est plus favorable.

Le rapport est disponible sur : http://www.fas.usda.gov/gainfiles/200811/146306614.pdf


Les cultures GM pourraient réduire les besoins en herbicides

La Commission Européenne rapporte qu’une analyse des données des essais à grande échelle en Europe révèle que de plus faibles quantités d’herbicides ont été appliquées aux plantes génétiquement modifiées (GM) pour la résistance aux herbicides comparativement aux plantes traditionnelles. Les données montrent aussi que la biodiversité peut être réduite si les plantes GM sont largement cultivées.

Le rapport affirme aussi que la culture des plantes GR peut fournir une méthode alternative pour la gestion des mauvaises herbes avec des effets positifs pour l’environnement. Cependant, des mesures pour maintenir la biodiversité doivent être prises. Voir http://www.environmental-expert.com/resultEachPressRelease.aspx?cid=8819&codi=41058&idproducttype=8&level=0 pour des informations complémentaires.

RECHERCHES

Document Reminders

Publication de l’ISAAA sur les graines et les nouvelles technologies de culture

«Confiance dans les graines» est la dernière publication du Service International pour l’Acquisition des Utilisations de l’Agri Biotechnologie (ISAAA) qui met en avant l’intérêt des graines et des nouvelles technologies de culture. Il regroupe les expérience des trois principaux développements de l’agriculture indienne qui soutiennent la croissance en agriculture, contribuent à l’augmentation de la production alimentaire et la diminution de la pauvreté et de la faim. Fondamentalement, «Confiance dans les graines» résume la volonté des petits fermiers d’adopter les graines améliorées et les nouvelles technologies de culture afin de surmonter rapidement les contraintes de production et d’augmenter leurs revenus. Pour obtenir une copie papier, contactez l’office d’Asie du sud-est de l’ISAAA à : b.choudhary@cgiar.org et k.gaur@cgiar.org. Une version en ligne est disponible à http://www.isaaa.org/resources/publications/downloads/ISAAA-Trust%20in%20the%20Seed.pdf (copiez le lien sur votre navigateur Internet).


État d’avancement actuel du premier numéro sur l’agriculture semi-aride

«Les carburants Bonanza doivent bénéficier aux pauvres» est le thème du premier numéro de SASA ou État d’avancement actuel de l’agriculture semi-aride, une lettre d’information en ligne publiée par le Centre International de Recherche sur les Plantes cultivées des Tropiques Semi-Arides. Ce numéro comprend le sorgho et sa contribution aux biocarburants. Des mises à jour spécifiques sont fournies sur la plante cultivée, son impact environnemental et économique et les aspects de la commercialisation.

Allez sur http://www.icrisat.org/ pour avoir plus d’informations.